DIEGO ATELIER

MADE IN FRANCE

L'atelier de maroquinerie Matias Mercapide est fier de vous présenter le modèle DIEGO : concentré de modernité et d'élégance

Sa forme design allie professionnalisme et discrétion

Modèle ICONIQUE de la marque : c'est un cartable citadin chic

Cette création atelier est entièrement réalisée sur place dans notre atelier avec du taurillon pleine fleur

Le modèle existe en 2 tailles pour toutes les occasions

Le taurillon est une matière noble et très résistante, traditionnellement utilisée par les grands selliers. Cette peausserie d'exception exige un savoir-faire et des techniques de fabrication maîtrisées par un nombre restreints d'artisans maroquiniers. La pleine fleur est la partie supérieure de la peau, qui est flexible et beaucoup plus résistante aux intempéries, aux griffures et rayures. Seuls les grands maroquiniers de luxe utilisent cette peausserie pour ses caractéristiques de beauté, de qualité, de longévité et de résistance

Dans la lignée des grandes maisons de sellerie de prestige les piqures sellier sont arrêtées à la main

Les bords sont cirés à la cire d'abeille pour garantir la flexibilité et la durabilité du sac

Poche extérieure sécurisée par zip à l'arrière du cartable

Compartiment intérieur

Poche zippée dans la paroi intérieure

Le modèle dispose d'une bandoulière amovible et réglable grâce à un régulateur discret 

La bandoulière comporte également un protège épaule pour répartir le poids sur une plus grande zone de contact avec le corps et garantir un plus grand confort d'utilisation

Ce cartable se porte à l'épaule, à la main, et en bandoulière

Modèle M : longueur 40 cm ; hauteur du corps (sans les anses) 29 cm ; largeur 7 cm

Modèle L : longueur 40 cm ; hauteur du corps (sans les anses) 29 cm ; largeur 10 cm

Ce modèle est, comme tous les produits atelier, personnalisable

Le Maître Maroquinier est à votre disposition pour vous proposer une création personnalisée

Contactez-nous à l’atelier au 05 56 52 45 31 ou au 06 44 21 25 15 pour plus de renseignements sur les possibilités quasi-illimitées de l’atelier